Les sujets compris dans cette section sont la défoliation, la création de bois morts sur un arbre, le travail sur les racines de surface et le tronc d’un Bonsaï et des guides pour créer une forêt de Bonsaïs ou une plantation sur roche. C’est parti.
Défoliation de Bonsaï
La défoliation conduit à couper toutes les feuilles d’un arbre pendant l’été. Ce faisant, on force l’arbre à faire de nouvelles feuilles, ce qui engendre une réduction de la taille des futures feuilles et une augmentation de la ramification.
Bois mort sur les Bonsaïs
Travailler les bois morts sur les Bonsaïs, en faisant des Jin et des Shari, peut considérablement améliorer le caractère de l’arbre. Un «Jin» est une partie dépouillée d’écorce sur une branche et un «Shari» est la partie écorcée d’un tronc.
Le collet des Bonsaïs (Nebari)
En japonais: Nebari - Un aspect très important du Bonsaï est son Nebari (ou: collet), les racines de surface qui offrent un équilibre visuel à l’arbre. Créer un Nebari peut se faire de deux manières différentes; en taillant régulièrement les racines qui poussent vers le bas, ou en utilisant une technique de multiplication: le marcottage aérien. Les deux méthodes sont décrites ici.
Le tronc d’un Bonsaï
Le tronc d’un Bonsaï mérite une attention particulière, puisqu’il est l’un des éléments les plus importants qui capte le regard. Les notions suivantes seront abordées: le Nebari, la conicité, l’épaisseur, la ligne générale du tronc.
Bonsaï en plantation sur roche
En japonais: Seki-joju / Ishisuki - La vue d’arbres sortant de la roche ou poussant dessus peut être saisissant, car ces arbres doivent lutter pour trouver des nutriments dans un environnement rigoureux. Ce genre de paysages peut être imité en Bonsaï, souvent en utilisant des pins. Ce guide décrit en détail comment créer une telle plantation sur roche.
Forêts de Bonsaï
En japonais: Yose-ue - Bien que les Bonsaïs soient souvent plantés seuls, dans la nature les arbres sont plus communément regroupés entre eux. La création d’une forêt de Bonsaïs (ou d’une plantation de groupe) requiert un nombre impaire d’arbres (pour, si le nombre d’arbre est restreint, créer une asymétrie), appartenant selon l’usage à la même famille botanique.